Kobo est une entreprise bien décidée à faire des efforts pour rendre ses liseuses plus durables. Elles sont tout d’abord fabriquées (en partie) dans un plastique recyclé, mais elles sont aussi réparables.
Il est donc maintenant possible de réparer plus facilement les liseuses Kobo de nouvelles générations :
Si vous achetez une de ces liseuses, vous pourrez théoriquement trouver du matériel de rechange en cas de problème pour changer les composants qui ne fonctionnent plus.
Mais, vous pouvez aussi trouver sur le site Internet iFixit des guides pour faire les réparations vous-même :
- Changer la batterie de votre liseuse
- Changer l’écran
- Changer la carte mère
- Réparer le bouton marche / arrêt
En complément, vous trouverez aussi des guides pour ouvrir, démonter et remonter votre liseuse afin d’effectuer toutes ses réparations.
Ce sont donc des bons points pour Kobo qui montre qu’il est possible de toujours faire mieux en matière de développement durable et de longévité des liseuses.
Les liseuses étant des appareils très solides, il sera logiquement possible de les conserver encore plus longtemps.
De plus, et à ma connaissance, les autres appareils électroniques que sont les smartphones ou les tablettes ne sont pas aussi facilement réparables que ces liseuses Kobo. Cela fait donc un nouveau bon point pour la marque Kobo.
Je ne sais pas si le fait de rendre les liseuses faciles à réparer est un argument de vente suffisant pour convaincre les lectrices et lecteurs à choisir Kobo. Vous pouvez me le dire dans les commentaires.
Mais, dans tous les cas, cela va permettre aux autres marques de regarder de ce côté également et de proposer à l’avenir (espérons-le) des liseuses également plus faciles à réparer.
C’est une bonne chose car ma première kobo n’a duré que quelques mois. Après une petite chute, un faut contact et tout bloqué !
La batterie de ma première Kobo (modèle Glo) a lâché après 10 ans.
J’aurai aimé pouvoir la changer et repartir pour 10 ans !
Surtout qu’en achetant une nouvelle liseuse, il est indispensable d’acheter une nouvelle protection, ce qui en augmente encore le prix.
Vive la réparation !